En fait, perso, je lis moins de Fantasy car dans l'énorme production de cette catégorie il y a rarement de bonnes choses, alors qu'en S.F...
On est assez d'accord touutes les deux sur les chefs d'oeuvres du genre.
Mais il y a quleques perles peu connues que j'aimerais bien vous faire découvrir.
Je commence avec :
Des milliards de tapis de cheveux
Andreas Eschbach
Grand Prix de l'imaginaire en 2001
(disponible en poche chez J'ai Lu - S.F. à 7€)
L'histoire
(Argument extrait du Wikipédia, j'fais ma feignante )
Sur une lointaine planète existe une tradition ancestrale qui consiste à tisser des tapis avec les cheveux de ses épouse et concubines. Chaque tapis est un hommage rendu à l'Empereur et un signe d'allégeance conçu pour décorer son immense et légendaire « Palais des étoiles ». La tâche, confiée à la Guilde des tisseurs, est tellement rude qu'un tisseur ne peut réaliser qu'un seul tapis durant toute son existence. Le tapis est ensuite légué au fils unique du tisseur qui le vend alors aux marchands de l'Empereur afin d'en tirer l'argent nécessaire à l'entretien de toute une famille pendant toute une vie. Mais bientôt, une rumeur commence à circuler, colportée par des étrangers : l'Empereur serait mort après avoir été renversé par des rebelles. La découverte de la vérité pourrait avoir des conséquences désastreuses sur cette petite planète isolée et signifier la fin de la lignée des tisseurs.
Ce qui est chouette :
Un roman assez court (316 pages) mais très dense, très prenant.
La forme du roman, en chapitres courts, contant chacun une histoire indépendante, le dénouement.
L'écriture simple, sans lourdeurs et effets.
L'imaginaire : Les civilisations lointaines dominées par une autorité dictatoriale, ce n'est pas nouveau mais ici l'auteur décrit avec poésie une culture très originale, basée sur une idée curieuse, le tout à petits traits, sans descriptions interminable, à travers les histoires de quelques personnages choisis.
Les thèmes : Un pouvoir totalitaire dirige toute une civilisation et impose sa pensée. Les récits nous en montrent les conséquence sur la communauté de Gheera dont la vie est entièrement dépendante de ce pouvoir lointain et de ses caprices. A. Eschbach instille doucement le malaise en décrivant la vanité et l'absurdité des croyances prescrites jusqu'à la chute finale on l'on découvre enfin la monstreuse et aberrante réalité à l'origine de toute l'histoire.
Andreas Eschbach
Grand Prix de l'imaginaire en 2001
(disponible en poche chez J'ai Lu - S.F. à 7€)
L'histoire
(Argument extrait du Wikipédia, j'fais ma feignante )
Sur une lointaine planète existe une tradition ancestrale qui consiste à tisser des tapis avec les cheveux de ses épouse et concubines. Chaque tapis est un hommage rendu à l'Empereur et un signe d'allégeance conçu pour décorer son immense et légendaire « Palais des étoiles ». La tâche, confiée à la Guilde des tisseurs, est tellement rude qu'un tisseur ne peut réaliser qu'un seul tapis durant toute son existence. Le tapis est ensuite légué au fils unique du tisseur qui le vend alors aux marchands de l'Empereur afin d'en tirer l'argent nécessaire à l'entretien de toute une famille pendant toute une vie. Mais bientôt, une rumeur commence à circuler, colportée par des étrangers : l'Empereur serait mort après avoir été renversé par des rebelles. La découverte de la vérité pourrait avoir des conséquences désastreuses sur cette petite planète isolée et signifier la fin de la lignée des tisseurs.
Ce qui est chouette :
Un roman assez court (316 pages) mais très dense, très prenant.
La forme du roman, en chapitres courts, contant chacun une histoire indépendante, le dénouement.
L'écriture simple, sans lourdeurs et effets.
L'imaginaire : Les civilisations lointaines dominées par une autorité dictatoriale, ce n'est pas nouveau mais ici l'auteur décrit avec poésie une culture très originale, basée sur une idée curieuse, le tout à petits traits, sans descriptions interminable, à travers les histoires de quelques personnages choisis.
Les thèmes : Un pouvoir totalitaire dirige toute une civilisation et impose sa pensée. Les récits nous en montrent les conséquence sur la communauté de Gheera dont la vie est entièrement dépendante de ce pouvoir lointain et de ses caprices. A. Eschbach instille doucement le malaise en décrivant la vanité et l'absurdité des croyances prescrites jusqu'à la chute finale on l'on découvre enfin la monstreuse et aberrante réalité à l'origine de toute l'histoire.