Épigone : Figure géométrique complexe formée de plusieurs segments droits dont l'origine est inférieure à la fin sur le plan vertical.

Cette variante géométrique peu usitée fut inventée par Pythagore.
Un matin, après une nuit agitée, arrosée de vin de Thasos, baignant encore dans les vapeurs alcoolisées et d'une humeur badine, le mathématicien constata les dégâts causés à la chevelure de Théano (sa maîtresse) par la pratique nocturne de l'athlétisme horizontal.
Il décrivit immédiatement la figure formée par les cheveux en bataille et la nomma épigone.

- Ha, ha, ha, ha!!! C't'épigone!!! Tu t'es coiffé avec un petit pain crétois ce matin, Photios ?
- Arrête, hein!!! Ou j'te pugile!!

Non, elle est plus dans le vent...



"Gone with the wind" pour les incultes locaux...

Rien compris


(malgré le texte en rose et la référence à ce film que je déteste)

contrairement à Nounou qui l'adore!!! Bizarre, hein ?

Je suis sidéré par le culture culturesque de Volvic-Lova-Moor!

Mais ousque c'est-y qu'elle va chercher tout ça!

Ca me troue les bras et le cul m'en tombe!!!

Ce qui te préserve de certains

Il y a des cas où la médecine doit savoir reconnaître ses échecs...

Pour la fangeniquedouille, c'est curieux mais j'en avais une notion bien différente. On m'avait dit qu'il s'agissait d'une danse sacrée, assez enlevée, associée à de très anciens rites de fertilité - la terre-mère, les semailles, tout ça tout ça...
L'aspect danse a survécu en Espagne sous le nom de fandango - el pifo nous le confirmera peut-être.
Quant aux liens avec la fertilité et la terre-mère, on en retrouve un écho très altéré dans les combats de catch féminin dans la boue.
Certains spécialistes de la mythologie ont aussi vu un cas très intéressant de fangeniquedouille spontanée dans les années 60-70, lors de certains festivals pop (Wight, par exemple) où une pluie diluvienne tombant sur une foule en extase et en plein champ pemit d'observer des scènes d'une grande, euh... spontanéité.
Mais tout ceci est à considérer avec précaution et ne peut soutenir la comparaison avec l'éblouissant exposé Volyovesque.

Aucun rapport, bien sur, avec ma grand-mere maternelle qui se prenommait Duilia (origine italienne) et que j'ai appelee Mémé Douille pendant toute mon enfance (pour la faire raler) et qui etait une sainte femme!

Pas mal... Mais, érudit ami, pourquoi omettre "azimuté" qui compléterait si bien la série ?



(vous croyez que je vais le fâcher, là ?)

Certe mais ami lecteur distrait, sans doute n'avez-vous pas remarqué que je me contente de recopier ce que j'ai trouvé sur un autre site; et donc je ne veux rien rajouter! Si Azimuté n'y est pas, qui suis-je moi, pauvre vermisseau de m... (jeu de mots) pour le rajouter!

épigone : tous les férus d'étymologie auront reconnu que ce mot vient du grec ηπιγον
et autant le α est privatif, le η est multiplicatif
nous avons donc une multipication par 100 du célèbre chiffre πι qui vaut grosso modo 3.14
l'épigone est donc une figure géométrique régulière ayant 314 angles.
Cette figure a été réalisée pour la première fois par Euclide à la règle et au compas.
Petite histoire :
Euclide ce grand mathématicien qui a découvert le fameux nombre d'or a d'abord essayé de dessiner une figure géométrique régulière contenant son fameux nombre d'or : φ.
Il créa donc en premier l'éphigone (ηφιγον) figure contenant 162 angles.
Non content de sa célèbre trouvaille il essaya donc ensuite de dessiner l'épigone
Et apprès bien des essais infructueux dus à la corde de son compas qui se brisait avant la fin du dessin de sa figure, il reussit enfin à la dessiner en prenant une corde faite en boyau de brebis beaucoup plus résistante que la corde en fil de lin tressé utilisé habituellement pour faire des compas.
Je vais pas essayer de vous reproduire cette figure ici, car j'ai pas de compas en boyau de brebis

T'as ete pistonné sur ce coup la!!
Essaie le boyau de chat... ces sales betes me font eternuer!!

Lexico pathie ?

Ben me'de, elle au'ait pu di'e au'evoi'!!!

Lexico, Lexiihiiiiicoooooooooooooooooooooooo!

Sous ton soleil qui chanteiiiiiiiiiiii!

Le temps paraît trop court pour goûter au bonheur de chaque jouuuuuuuuuur!

Lexico, Lexiihiiiiicoooooooooooooooooooooooo!

Oui, celle-ci est bonne!

J'en ai une bien pourave aussi sur : L'abeille du quadi!


L'abeille du quadi a des yeux de velouuuuuuuur!

L'abeille du quadi vous invite à l'amouuuuuuur!!

tchica tchica tchic aïe aïe aïe!

Un p'tit accès floodo-lyrique, Herr Zauberer ?

Vi, vi, seulement le meilleur du pire!

Gandalf est un âne : le boustrophédon c'est pas ça du tout!

DU TOUT!

! pas vraiment alors Mais

Quel ignare!

! sens bon le dans dictionnaire un lire de Infichu

C'est pourtant simple : dans la France du Xeme siècle, au cours du transport amoureux, il arrivait à la dame de s'exclamer "Tu pousses trop!" A quoi son vigoureux seigneur répondait s'il était rustre : "M'en fous!" ou, s'il était mieux élevé : "Fous donc!", euphémisé en "Fais donc!".

En pays d'oil, ce dialogue survit dans les transports en commun, où il a donné "Poussez pas derrière!"

En pays d'oc, c'est devenu Boustrophédon, dont les Grecs se sont emparés en faisant croire que c'était un mot à eux. Timeo Danaos et dona ferentes

La rigueur historique est un combat de tous les instants.

Médaille d'or de "l'à peu près" décernée à M. Gabu, sans discussion possible!!
Affligeant!

[plagiat on]Je suis affligé!
[/plagiat off]

Affligez-vous mes bien chers, affligez-vous il y a de quoi. En relisant la navrante prose du sieur Gandalf, j'ai découvert une erreur pendable dans sa définition de la billevesée. L'approximatif personnage s'est tout simplement trompé de domaine, ce qui explique l'obscurité de son propos.

Il s'agit en fait de zoologie.

La billevesée est un ravissant petit carnassier de la famille des mustélidés. Elle ressemble un peu à dreeli, autrement dit à une moufette mais qui serait sponsorisée par Narta.

La billevesée est un proche parent de la calembredaine dégingandée, de la bourde à voix grave, de la sornette au doux chant, de la bagatelle au pied léger, de la baliverne mordorée, de la fadaise incolore, de la vétille affairée, du verbiage majestueux.

Ces bestiaux descendent d'un ancêtre commun : la sottise, dont on trouve des fossiles dès le précambrien. Ils sont étonnamment proches de l'espèce domestique, conjugale et bureaucratique connue sous le nom de connerie, que l'homme apprivoisa avant même le chien.

Tous ces petits carnassiers, experts dans l'art du camouflage, sont d'excellents nageurs et n'aiment rien tant que barboter ensemble dans une rivière limpide. C'est un spectacle ravissant et extrêmement difficile à observer : en effet, pour ces grands rassemblements aquatiques, les petites bêtes se dépouillent de leurs oripeaux et batifolent dans leur simplicité originelle.

C'est ce qu'on appelle l'assemblée générale de l'eau nue.

Où c'est y qu'on a rangé l'aspirine ????????

Là, j'dois dire que ça mérite récompense

Une magnifique récompense pour une non moins magnifique prose! Jubilatoire

Peut-être un brin tape-à-l'oeil ? Mais très décoratif en tout cas, mille mercis!

Quant à l'abeille du cadi (et non quadi) elle provient je crois d'un vieux conte damascène et très joli, que je laisse à Gandalf en guise de session de rattrapage. HihihihihiaaaRRRRRHHHH! On va bien voir!

Ne te repose pas sur tes lauriers, car après tout, tu n'as obtenu que l'argent pour l'instant...

Ohhhhh toi le crustacé rubicond, ne franchis pas les bornes!
Ohhhhh toi le crustacé borné, ne franchis pas le Rubicon!

Là... Tu t'approches du vermeil!
(la médaille, hein, pas la carte... )

Chapeau bas, M'sieur!

(m'en fous, j'en porte jamais, de chapeau... )

Et c'est quoi t'est-ce que c'est donc qu'une Palinodie, tiens ?

Secte du XVI ème qui se livra à une lutte sans merci sur les périphes parisiens avec le gang des Bronzéenbéhem avant l'avènement de la religion de Rââdhar.

Bravo, j'aime!!!

Et si je vous dis : criptochyre (pas trop sûr de l'orthographe)

Comme son nom ne l'indique pas, le criptochyre vit sur les îles des Bermudes, caché dans leurs forêts impénétrables. Extrèmement agressif, ce dernier ne capture malgré tout pas ses proies à l'aide de ses dents, puisqu'il n'en a pas. Les assommant d'un coup de tête, il les pietine ensuite jusqu'à en faire une bouillie informe, qu'il consomme pêle mêle, avalant au passage terre, feuilles, cailloux et vers de terre, ce qui fait de son appareil dicriptochyregestif un des plus sinon le plus résistant au monde.

Ça me rappelle la vieille blague d'un vieux copain :
- Haaaaaaaaaaaaaaaaaa, si j'avais des oeufs, je ferais bien une omelette aux Cèpes!!! Mais j'ai pas de Cèpes!

criptochyre : glissons avec mansuétude sur la faute d'orthographe de ce mot qui s'écrit cryptochire et considérons son étymologie. Crypto- c'est évidemment "caché". Quant à -chire, il vient d'un mot grec dontj'ignore l'orthographe exacte et qui signifie "main" : chiromancie, chiropraxie, et tout ça et tout ça. Les chimistes, nombreux dans le public, connaissent les molécules chirales ; les autres n'ont qu'à se renseigner.
Donc une (car c'est du féminin) cryptochire n'est qu'une main cachée. Exemple :
- Pfouuuuu... le métro était plein de cryptochires ce soir!
- Tu devrais porter une jupe plus longue...

La main en grec ancien s'ecrit phonetiquement "Keïr-Keïros "... j'ai pas de police grecque.desolee!!

Hop... yen a trouvé!

χειρ

Déterrons, déterrons...

Et c'est quoi-t'est-ce donc que la plaquomusophilie, hmm ?

La collection des plaques de muselets de champagne... (meurci gougueuleu), n'est-ce-pas ?

Placomusophilie : néologisme apparu avec les premières collections (-philie, du grec philos signifiant « ami », est le suffixe habituellement utilisé pour former des composés au sens de « amateur de ») de plaques (placo-) de muselets (muso-) de Champagne personnalisées (imprimées aux couleurs du producteur avec des jolis petits dessins). Plus simplement, le collectionneur amasse les capsules de Champagne.
A ne pas confondre avec la placido-musophilie, qui est une activité assez dépravée, pratiquée par certains collectionneurs de Pif gadget.

Sachez que l’activité du placomusophile consiste en gros à hurler lors des soirées festives ou commémoratives, après avoir entendu le (ou les) plop réjouissant correspondant à l’ouverture mousseuse de bouteilles de grand prix : « Noooooon!!! Ne touche pas au grisbi sa Surtout ne jette pas le bouchon!!! ». On aura bien sûr aperçu notre placomusophile quelques heures auparavant, rôdant autour des hôtes, leur précisant bien que l’intérêt principal de la soirée résidait pour lui dans l’obtention de ces fameuses capsules. D’un air distrait, la maîtresse de maison l’aura pourtant gratifié d’un « oui », las mais ferme. Mais le bonheur du placomusophile ne saurait être complet tant qu’il ne tient pas dans ses petites mains moites et potelés les-dits objets de sa convoitise. Et c’est un filet de bave au coin des lèvres qu’il recueille le morceau de métal comme une précieuse relique à l'issue des festivités (pour les autres), qui ne font que commencer pour lui (admiration, rationalisation, classage, regardage... ).
Faire la joie du placomusophile est relativement faisable (si tant est que vous vouliez absolument faire un heureux). Attention, la méthode n’est pas toujours sans danger.
Soyez par exemple copain avec un cuistot de la Tour d’Argent (ou d’un autre grand restaurant où les gens viennent claquer des sous) et faites régulièrement les poubelles, là où gisent les cadavres de veuves Clicquot. Bien sûr, il y a toutes les chances pour que vous ne soyez pas seul sur le coup… mais plus on est de fous et plus on est de fous!

euh... j'croyais que la placomusophilie était un art tombé en désuétude depuis que les duels ne sont plus autorisés. Oncques jetait l'offensé le gant au museau de l'offenseur, ce pourquoi on le traitait de 'plaqu'au'museau'phile", qu'on sé plu ékrir akoz dé sms.

Moi, quand même ce que je préfère c'est :

Car il est évident que tous les placomusophile de cet univers ont les doigts potelés!
Le placomusophile ne peut avoir de longs doigts déliés, pas plus que, pour des raisons pratiques indéniables, des moignons de doigts!
De plus, la fréquentation assidue des cocktails, pots de départ, vernissages et autres sauteries arrosées induit forcément la surconsommation de petits fours et amuses gueules entraînant inexorablement le potelage du placomusophile et de ses extrémités préhensiles.

Mais attention, tous les doigts potelés n'appartiennent pas forcément aux placomusophiles!!!
Liste non-exhaustive pour votre édification :
Le nourrisson (sorte d'humain en bas-âge généralement rosé et sortant du bain)
Le Personnage de Boucher (ordinairement répandu dans plusieurs mètres de tissus chatoyants et/ou en milieu pastoral)
La Belle-mère de Cendrillon (qui ayant délégué les tâches ménagères à sa belle-fille a tout le temps de s'empiffrer de sucreries)
Moi (pour des raisons esthétiques que vous ne comprendriez pas)
Etc.

Merci à Nounou de m'avoir permis d'apporter ces petites précisions.

Par contre, quelqu'un peut-il m'éclairer ?
Qu'est donc un Arpassum ?

Aussi!!

Ahhhh m****!!!

quasi-énucléation, surdité passagère, défonçage de glotte et bien entendu, le plus classique, explosion de binocles (j'ai personnellement assisté à ceux-là, si si, du temps où la sainte bibine était parmi nous, paix à son âme)
mais je suis d'accord avec m'âme Gytha, la placido-musophilie est bien antérieure et bien plus dégradante, beark

c'est bêtement l'ancêtre du fer arpasser, lequel, à Rome, était un objet de très haute technologie, avec fumerolles et vapeur intégrées, dont l'usage était strictement règlementé en fonction d'un très complexe système de prêt fondé sur la position sociale (j'ai bien dit sociale, bande d'obsédés). Cela nous a donc valu un dicton qui serait célèbre si l'on s'en souvenait encore : pour l'arpassum faudr'arpasser...

Tiens, j'ai failli zapper ça, moi... Et ç'eût été bien dommage!!!

Tiens, mon voisin m'a proposé de me prêter sa trapagnolle.

Méçékoadonc, ce truc ?

Trapadelle... c'est une voiture!
L'a peut etre fait une crase entre Trapadelle et Bagnole!!