MYHA Kickstarter |
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Akel |
15/10/2017, 15:37
Message
#1
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Tire au flanc ! Groupe : Membres Messages : 36 |
Bonjour,
Denis Martin (RonnSehv) et Simon Mesnard (ASA, Catyph,..) démarrent un KickStarter (maintenant!) pour le jeu MYHA. Anglais ici: https://www.kickstarter.com/projects/simons...chplay/realmyha Français par là: https://www.dundoc.com/project/3251/g1tngd9f5k Voici le Message de Simon, CITATION Vous le savez sans doute, je prépare depuis plusieurs mois le jeu RealMyha avec Denis Martin (RoonSehv). Si vous aimez la série Black Cube et les jeux de Denis, alors nous avons besoin de votre aide ! Nous avons mis le jeu sur Kickstarter, et nous avons jusqu'au 13 novembre pour atteindre notre objectif. Avec votre aide nous pourrons le rendre plus beau, plus complet et améliorer les énigmes ! Si cela vous intéresse, rendez-vous sur la page du projet pour nous soutenir ou partager l'info. Merci d'avance à tous et à toutes ! |
Grover |
25/10/2017, 12:56
Message
#2
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Cyclope du matin calme Grooaaarrrr Groupe : Bricoleurs Messages : 6 332 |
Update 7
Réservé aux Backers Bonjour à tous ! Ici Simon. Chaque Samedi je vais dévoiler une nouvelle partie d'une petite histoire. Si vous avez joué à Myha (ou avez lu le pitch de RealMyha), alors vous savez que dans ce jeu de SF le héros est un astronaute téléporté sur une île inconnue où l'on trouve des ruines. D'où viennent les ruines ? Y'a-t-il d'autres histoires au sujet de l'île et de la lune Myha ? Y'a-t-il d'autres habitants ? C'est ce que je souhaite aborder ici dans cette série de 4 histoires courtes intitulées "Mémoires de Linara", prenant place près de 1000 ans avant les évènements du jeu. Chaque nouveau chapitre sera illustré par un croquis à l'aquarelle. Dites-moi si vous aimez ! 1000 ans avant les évènements de RealMYHA. Mémoires de Linara #1 Quand j'étais petit. Quand j'étais petite, je retrouvais souvent mes amis Tikin, Araki et Gorgath près des maisons des pêcheurs. On habitait le continent et on rêvait d'aventure, d'explorer le vaste monde. Seulement, notre village était pauvre et minuscule, et pour couronner le tout, il était isolé derrière une immense chaine de montagnes qui formait comme une muraille infranchissable. On était coupés du reste des terres, nous, nos parents et tous les habitants, alors on se tournait vers l'océan pour subvenir à nos besoins. L'océan, c'était notre grande fierté. Sauf que nous, les gosses, on n'avait pas trop le droit de s'en approcher. Pas tous seuls en tout cas, et pas avant nos douze ans. Du coup on jouait à l'écart, et on disait qu'on était des pirates. On savait qu'un groupe de vrais pirates rôdait souvent dans les îles, mais comme elles étaient hors de vue et souvent dans la brume, on ne les avait jamais vues. On s'en fichait bien remarquez, parce qu'on avait assez d'idées pour imaginer nos propres déguisements et nos histoires. Du coup, tous les ans on se retrouvait pour de nouvelles aventures. C'était toujours le même rituel si on peut dire : d'abord au printemps on allait sur la plage avec les adultes. Pendant qu'ils pêchaient à marée basse, on cherchait des trésors ramenés par les vagues. On trouvait parfois de chouettes trucs : des perles, des cailloux brillants et des coquillages multicolores. On les mettait dans nos seaux. Puis en été, quand les parents partaient en barque dans les îles pour chercher à manger, nous on avait plein de temps libre. C'est là qu'on devenait vraiment une bande de pirates ! On avait récupéré une vieille caisse qui servait à stocker le poisson séché avant. Elle puait ! A cet âge là c'était pas gênant, on rigolait, mais pas nos mères à l'heure du bain. Enfin bon, dans la caisse on mettait tout ce qu'on avait récupéré des mois plus tôt, les jolies choses données par l'océan, et l'un d'entre nous était choisi comme capitaine de la bande pour aller cacher ce coffre. On a fait ça plusieurs années de suite, jusqu'à ce qu'on soit tous désignés au moins une fois. Le capitaine devait dessiner une carte, et le reste du groupe, ses moussaillons, devait partir à la recherche du trésor. Celui qui savait où le trouver, il n'avait pas le droit de nous mentir quand on posait des questions, parce que c'était mal sinon. Même pour des bandits c'est une honte de dire des mensonges. Par contre le chef pouvait nous mettre des bâtons dans les roues, parce que même si on était sous ses ordres, il voulait se garder son butin pour lui tout seul ! Ca faisait partie du jeu évidemment. Un vrai capitaine ne laisse ses richesses à personne. Je me souviens d'une fois où Gorgath a fait tomber une ruche sur nous, exprès pour qu'on rebrousse chemin et qu'on trouve pas sa cachette. Moi j'ai pas voulu abandonner, alors j'ai foncé dans les abeilles énervées, sans crier, et en supportant les piqûres. Et je l'ai trouvé ce fichu coffre ! Toutes nos richesses à l'intérieur m'ont semblé illuminées de mille feux. Elles se sont mises à tourner et à doubler de volume, puis tout est devenu noir. Je crois que je me suis évanouie. |
Version bas débit | Nous sommes le : 27/04/2024 - 14:18 |